Sous le bureau
Elle a du mal à croire qu’elle se retrouve vraiment là. Comment aurait-elle pu croire que son Maître la prendrait au sérieux lorsqu’elle lui a confié son fantasme de se retrouver à ses pieds, sous son bureau, au boulot ?
Elle avait toujours perçu cet endroit comme la douce niche d'une chienne. Fantasmait de s’y blottir en silence. Immobile. À l'affût de la moindre caresse, du moindre signe. Elle oserait peut-être frotter sa joue contre son pantalon...
Il lui flatte le dessus de la tête, la tirant de sa rêverie.
Elle ne rêvait pas. Elle se trouve bien sous le bureau de son Maître. Elle ne porte que d'épais bas de gamine qui lui montent à mi-cuisse. Son sage chemisier blanc est ouvert. Ses seins sont nus, exposés aux regards dont il lui fait cadeau à l'occasion. Ses trous sont donc disponibles pour lui à tout moment. Sa chatte est humide de désir. Son cul palpite d'appréhension. Sa langue mouille souvent sa bouche pour la garder chaude et accueillante au cas où il aurait envie de l'utiliser.
Il détache son pantalon
En percevant ce geste, la petite chienne devient excitée. Elle ne tient plus en place. Commence à s'agiter sous le bureau. Elle se place à 4 pattes. Le nez entre les cuisses de l’homme. Les reins cambrés. Le cul relevé. Elle approche son visage doucement du sexe du mâle. Appuie la tête sur ses jambes dans l'espoir d'attirer son attention. L’implore silencieusement du regard ...
D’un geste discret il défait sa fermeture-éclair en continuant à travailler.
Elle approche mon visage tout près de l'ouverture. Elle renifle doucement pour s'imprégner de l’odeur de l’homme. Elle va même jusqu’à poser les lèvres dans l'ouverture et caresser le sexe par-dessus le sous-vêtement... Souhaitant créer une réaction, une érection. Elle lui fait sentir la chaleur de son souffle chaud. Il devine que l'excitation la gagne par sa respiration qui s'accélère. Son désir de lui croit.
La queue de l’homme gonfle et son regard plonge entre les deux seins offerts sous son bureau. Il rejoint un des mamelons de ma main gauche et le pince avec puissance en lui rappelant tout bas de garder le silence. Il ne faut pas que les collègues de travail entendent.
Elle serre les dents et pince les lèvres. Ses yeux se remplissent de larmes et sa tête d'idées entremêlées. Elle ressent à la fois la joie d'avoir attiré son attention et obtenu un Toucher et la douleur que lui coûte cette attention.
Ses lèvres remuent et forment un "Merci Maître" silencieux alors qu’elle souffre pour lui. Instinctivement son cul se relève un peu plus. Elle corrige sa position. Écarte les cuisses un peu plus pour faire bailler son sexe. Le désir qu’elle y ressent est de plus en plus fort. Son clito durcis. Elle a envie de lui.
Il découvre sa queue pour la lui montrer. La verge est bien dure, le gland luisant, appelant ses caresses. Amuse-toi, lui ordonne t-il.
Un sourire se trace sur les lèvres de la petite. Ses yeux luisent d'un nouvel éclat. Elle essaie de réfréner son ardeur de chienne à me précipiter sur le sexe comme sur un morceau de viande fraîche.
Elle pose la joue contre sa queue dure. La caresse comme le ferait une bête. Elle fourre ensuite son nez à la base du sexe tendu. Tentant de s'imprégner de cette odeur. De la garder en elle pour la reconnaître, toujours. Elle humecte ses lèvres. Les poses à la base de la pine et les glisses jusqu'à l'autre extrémité. Elle lève les yeux au moment d'ouvrir la bouche. Cherchant une approbation avant de l'engouffrer au complet dans sa bouche. Mais n'y résiste pas plus d’une seconde et la prends enfin en elle.
La réaction de l’homme la tétanise.
« C'est assez. Calme-toi. Aux pieds. »
Elle murmure un "Oui, Maître" à peine audible, baisse les yeux et retourne se blottir sur le sol à ses pieds. Le nez rempli de son odeur, l'image de ce sexe bandé imprimé sur la rétine et son clitoris qui pulse et qui pulse entre ses cuisses ...
« Bonne chienne. » fit-il en rangeant sa queue dans sa cachette. « Caresse-toi, en silence. »
Elle s’empresse d'obéir. Heureuse d'entendre cette demande. Elle demeure couchée sans bruits mais sa main trouve rapidement ses lèvres humides. Elle y passe un doigt doucement et constate l'ampleur de son excitation. Elle glisse son doigt entre elles et trouve rapidement son clito gonflé. Elle le taquine et l'encercle de caresses. Puis son doigt le quitte et se porte à sa bouche. Elle aime goûter son jus de chatte à la fois doux et sucré. Elle retient difficilement un "hummm". Ses yeux se ferment et elle reprend les caresses sur son sexe. Douces, languissantes mais appuyées de manière à bien les savourer.
Quand il voit que son plaisir est commencé, Il ressort sa verge de sa cachette et flatte le dessus de son gland avec son majeur et le restant de salive qu’elle y a laissé.
En entendant le bruissement du tissu, elle ouvre les yeux précipitamment. En posant les yeux sur le sexe tendu, elle plonge deux doigts dans sa chatte. Tentant d'imaginer la sensation de cette queue en elle. Elle en ressort ses doigts couverts de mouille gluante qu’elle étale minutieusement sur son anus avant de retourner caresser son clitoris en silence le regard toujours fixé sur l'objet de son désir. Sa respiration s'accélère à mesure que la cadence de ses doigts augmente sur son sensible bouton de chair.
L’homme se branle de plus en plus vite et colle le bout de son gland sous le nez de la petite chienne.
Sans quitter sa petite chatte, elle modifie sa position pour lui offrir son Visage de plus près. Elle ouvre la bouche très grande. Tire la langue. Et demeure immobile. Attentive à la moindre indication.
Il sent sa chaleur juste au bout de sa queue. « Demande-moi sans parler de la faire entrer dans ta bouche. »
Elle risque un mouvement. Quitte sa chatte à regret et essuie ses doigts trempés sur son cul. Elle reprend la position de chienne adoptée plus tôt. À 4 pattes. Les cuisses ouvertes et le cul relevé comme jamais. Elle pince ses mamelons pour les faire pointer encore plus durement et replace sa bouche grande ouverte tout près de ce sexe dont elle a tant envie. Elle ose ensuite lever les yeux et tenter d'accrocher à son regard, le sien, désireux, fiévreux, suppliant.
« Suce petite chienne en chaleur. Gave-toi de mon sexe. »
Elle frémi en entendant l'ordre. La première tentative lui ayant servi de leçon, cette fois elle ne perd pas une seconde et engouffre immédiatement la queue goulûment dans sa bouche. Elle s'en régale et le plaisir du désir enfin comblé lui fait fermer les yeux et soupirer un instant. Elle s'applique à enduire la verge de sa salive et à le faire coulisser en mouvements profonds et réguliers au fond de sa bouche. Elle se sent chienne, soumise, obéissante comme jamais.
« Continue. Amuse-Moi. Délecte-toi. »
Elle imprègne à son corps un mouvement régulier. Elle se balance d'avant en arrière lui offrant sa bouche telle un fourreau chaud où se branler. Elle se sent objet de son plaisir. Utilisée. Fière de l'être. Elle aime la dureté de cette queue dans sa bouche. Sa chaleur la chavire. Elle ne pense plus à rien; elle est une bouche, mouillée, chaude, gourmande. Sa chatte coule. Son clitoris est si dur qu'il en est douloureux. Ses mouvements lui font sentir l'air frais entre les fesses qui lui rappelle que mon anus est mouillé de son désir de Lui.
« Mmmmmm.... tu veux goûter à mon sperme? »
Elle hoche la tête de haut en bas. Elle ne veut plus lâcher l'épée de chair. Elle augmente le rythme et la profondeur de ses caresses. Ses mamelles balances sous elle à chacune de ses poussées vers l’homme. Ses genoux brûlent contre le sol. Elle a tant envie de le goûter. Sa langue tourne dans sa bouche valsant avec sexe. Elle a du mal à contenir sa salive et elle coule le long de son menton. Elle lève les yeux vers les siens. Il y lit l'ampleur de sa dévotion.
« Tu oses défier mon regard? »
Il l’agrippe par les cheveux et la tire pour que sa queue s'enfonce au plus profond de sa gorge. Son sperme s'évacue violemment. « Avale salope. »
Les yeux de la salope se remplissent de larmes sous l'invasion violente. Elle est si surprise du geste qu’elle ne réagit pas immédiatement. Sa gorge se laisse envahir de cette queue et de sperme. Elle tente de reculer la tête un peu pour faciliter la déglutition. Il y en a tant qu’elle s'étouffe un peu. Elle reprend enfin un peu ses esprits, le temps d'inspirer profondément et avale à nouveau en baissant les yeux. Elle passe un doigt sur son menton et y ramasse une goutte de sperme échappée. Elle lèche son doigt en rougissants honteusement.
« Va-t’en. T'as eu ce que tu voulais.»
Il lui sourit et lui souffle un baiser en la repoussant du pied.
Elle avait toujours perçu cet endroit comme la douce niche d'une chienne. Fantasmait de s’y blottir en silence. Immobile. À l'affût de la moindre caresse, du moindre signe. Elle oserait peut-être frotter sa joue contre son pantalon...
Il lui flatte le dessus de la tête, la tirant de sa rêverie.
Elle ne rêvait pas. Elle se trouve bien sous le bureau de son Maître. Elle ne porte que d'épais bas de gamine qui lui montent à mi-cuisse. Son sage chemisier blanc est ouvert. Ses seins sont nus, exposés aux regards dont il lui fait cadeau à l'occasion. Ses trous sont donc disponibles pour lui à tout moment. Sa chatte est humide de désir. Son cul palpite d'appréhension. Sa langue mouille souvent sa bouche pour la garder chaude et accueillante au cas où il aurait envie de l'utiliser.
Il détache son pantalon
En percevant ce geste, la petite chienne devient excitée. Elle ne tient plus en place. Commence à s'agiter sous le bureau. Elle se place à 4 pattes. Le nez entre les cuisses de l’homme. Les reins cambrés. Le cul relevé. Elle approche son visage doucement du sexe du mâle. Appuie la tête sur ses jambes dans l'espoir d'attirer son attention. L’implore silencieusement du regard ...
D’un geste discret il défait sa fermeture-éclair en continuant à travailler.
Elle approche mon visage tout près de l'ouverture. Elle renifle doucement pour s'imprégner de l’odeur de l’homme. Elle va même jusqu’à poser les lèvres dans l'ouverture et caresser le sexe par-dessus le sous-vêtement... Souhaitant créer une réaction, une érection. Elle lui fait sentir la chaleur de son souffle chaud. Il devine que l'excitation la gagne par sa respiration qui s'accélère. Son désir de lui croit.
La queue de l’homme gonfle et son regard plonge entre les deux seins offerts sous son bureau. Il rejoint un des mamelons de ma main gauche et le pince avec puissance en lui rappelant tout bas de garder le silence. Il ne faut pas que les collègues de travail entendent.
Elle serre les dents et pince les lèvres. Ses yeux se remplissent de larmes et sa tête d'idées entremêlées. Elle ressent à la fois la joie d'avoir attiré son attention et obtenu un Toucher et la douleur que lui coûte cette attention.
Ses lèvres remuent et forment un "Merci Maître" silencieux alors qu’elle souffre pour lui. Instinctivement son cul se relève un peu plus. Elle corrige sa position. Écarte les cuisses un peu plus pour faire bailler son sexe. Le désir qu’elle y ressent est de plus en plus fort. Son clito durcis. Elle a envie de lui.
Il découvre sa queue pour la lui montrer. La verge est bien dure, le gland luisant, appelant ses caresses. Amuse-toi, lui ordonne t-il.
Un sourire se trace sur les lèvres de la petite. Ses yeux luisent d'un nouvel éclat. Elle essaie de réfréner son ardeur de chienne à me précipiter sur le sexe comme sur un morceau de viande fraîche.
Elle pose la joue contre sa queue dure. La caresse comme le ferait une bête. Elle fourre ensuite son nez à la base du sexe tendu. Tentant de s'imprégner de cette odeur. De la garder en elle pour la reconnaître, toujours. Elle humecte ses lèvres. Les poses à la base de la pine et les glisses jusqu'à l'autre extrémité. Elle lève les yeux au moment d'ouvrir la bouche. Cherchant une approbation avant de l'engouffrer au complet dans sa bouche. Mais n'y résiste pas plus d’une seconde et la prends enfin en elle.
La réaction de l’homme la tétanise.
« C'est assez. Calme-toi. Aux pieds. »
Elle murmure un "Oui, Maître" à peine audible, baisse les yeux et retourne se blottir sur le sol à ses pieds. Le nez rempli de son odeur, l'image de ce sexe bandé imprimé sur la rétine et son clitoris qui pulse et qui pulse entre ses cuisses ...
« Bonne chienne. » fit-il en rangeant sa queue dans sa cachette. « Caresse-toi, en silence. »
Elle s’empresse d'obéir. Heureuse d'entendre cette demande. Elle demeure couchée sans bruits mais sa main trouve rapidement ses lèvres humides. Elle y passe un doigt doucement et constate l'ampleur de son excitation. Elle glisse son doigt entre elles et trouve rapidement son clito gonflé. Elle le taquine et l'encercle de caresses. Puis son doigt le quitte et se porte à sa bouche. Elle aime goûter son jus de chatte à la fois doux et sucré. Elle retient difficilement un "hummm". Ses yeux se ferment et elle reprend les caresses sur son sexe. Douces, languissantes mais appuyées de manière à bien les savourer.
Quand il voit que son plaisir est commencé, Il ressort sa verge de sa cachette et flatte le dessus de son gland avec son majeur et le restant de salive qu’elle y a laissé.
En entendant le bruissement du tissu, elle ouvre les yeux précipitamment. En posant les yeux sur le sexe tendu, elle plonge deux doigts dans sa chatte. Tentant d'imaginer la sensation de cette queue en elle. Elle en ressort ses doigts couverts de mouille gluante qu’elle étale minutieusement sur son anus avant de retourner caresser son clitoris en silence le regard toujours fixé sur l'objet de son désir. Sa respiration s'accélère à mesure que la cadence de ses doigts augmente sur son sensible bouton de chair.
L’homme se branle de plus en plus vite et colle le bout de son gland sous le nez de la petite chienne.
Sans quitter sa petite chatte, elle modifie sa position pour lui offrir son Visage de plus près. Elle ouvre la bouche très grande. Tire la langue. Et demeure immobile. Attentive à la moindre indication.
Il sent sa chaleur juste au bout de sa queue. « Demande-moi sans parler de la faire entrer dans ta bouche. »
Elle risque un mouvement. Quitte sa chatte à regret et essuie ses doigts trempés sur son cul. Elle reprend la position de chienne adoptée plus tôt. À 4 pattes. Les cuisses ouvertes et le cul relevé comme jamais. Elle pince ses mamelons pour les faire pointer encore plus durement et replace sa bouche grande ouverte tout près de ce sexe dont elle a tant envie. Elle ose ensuite lever les yeux et tenter d'accrocher à son regard, le sien, désireux, fiévreux, suppliant.
« Suce petite chienne en chaleur. Gave-toi de mon sexe. »
Elle frémi en entendant l'ordre. La première tentative lui ayant servi de leçon, cette fois elle ne perd pas une seconde et engouffre immédiatement la queue goulûment dans sa bouche. Elle s'en régale et le plaisir du désir enfin comblé lui fait fermer les yeux et soupirer un instant. Elle s'applique à enduire la verge de sa salive et à le faire coulisser en mouvements profonds et réguliers au fond de sa bouche. Elle se sent chienne, soumise, obéissante comme jamais.
« Continue. Amuse-Moi. Délecte-toi. »
Elle imprègne à son corps un mouvement régulier. Elle se balance d'avant en arrière lui offrant sa bouche telle un fourreau chaud où se branler. Elle se sent objet de son plaisir. Utilisée. Fière de l'être. Elle aime la dureté de cette queue dans sa bouche. Sa chaleur la chavire. Elle ne pense plus à rien; elle est une bouche, mouillée, chaude, gourmande. Sa chatte coule. Son clitoris est si dur qu'il en est douloureux. Ses mouvements lui font sentir l'air frais entre les fesses qui lui rappelle que mon anus est mouillé de son désir de Lui.
« Mmmmmm.... tu veux goûter à mon sperme? »
Elle hoche la tête de haut en bas. Elle ne veut plus lâcher l'épée de chair. Elle augmente le rythme et la profondeur de ses caresses. Ses mamelles balances sous elle à chacune de ses poussées vers l’homme. Ses genoux brûlent contre le sol. Elle a tant envie de le goûter. Sa langue tourne dans sa bouche valsant avec sexe. Elle a du mal à contenir sa salive et elle coule le long de son menton. Elle lève les yeux vers les siens. Il y lit l'ampleur de sa dévotion.
« Tu oses défier mon regard? »
Il l’agrippe par les cheveux et la tire pour que sa queue s'enfonce au plus profond de sa gorge. Son sperme s'évacue violemment. « Avale salope. »
Les yeux de la salope se remplissent de larmes sous l'invasion violente. Elle est si surprise du geste qu’elle ne réagit pas immédiatement. Sa gorge se laisse envahir de cette queue et de sperme. Elle tente de reculer la tête un peu pour faciliter la déglutition. Il y en a tant qu’elle s'étouffe un peu. Elle reprend enfin un peu ses esprits, le temps d'inspirer profondément et avale à nouveau en baissant les yeux. Elle passe un doigt sur son menton et y ramasse une goutte de sperme échappée. Elle lèche son doigt en rougissants honteusement.
« Va-t’en. T'as eu ce que tu voulais.»
Il lui sourit et lui souffle un baiser en la repoussant du pied.